Bien que majeure, Laurie dépend totalement de ses parents qu’elle craint, son père ayant la main leste. C’est avec deux ans de retard qu’elle repassera son bac mais le début de l’année s’annonce déjà catastrophique. Lors du traditionnel repas de famille du 1er novembre, la tante Louise, une ancienne tenancière, leur propose de s’occuper d’elle, il n’y a pas internet chez elle et à 15 kilomètres du premier village, l’étudiante rebelle n’ira pas s’amuser avec les garçons.

Dépités et ne sachant plus que faire pour motiver leur fille, les parents acceptent sa proposition malgré les cris et larmes de Laurie. Elle dispose d’une heure pour préparer ses affaires et pleure puis essaye de négocier en vain une bonne partie de ce temps. La coquine n’oublie surtout pas son ordinateur et son téléphone mobile, il lui servira de modem mais ça, les parents et la tante ne le savent pas.

Tante Louise n’est en fait pas de la famille, elle est ce que l’on appelle une « pièce rapportée » suite à une sombre histoire de famille de l’après Franco. Adoptée elle a été sauvée par son grand père et n’a donc aucun lien filial.

Une heure trente de route plus tard, elles arrivent dans la fameuse maison de la tante, une ancienne bergerie retapée il y a longtemps et à grand frais sur un des hauts plateaux du Larzac. Louise a bien essayé d’expliquer à Laurie que cette décision est pour son bien, devant les réponses d’une grande impolitesse, le ton monte déjà entre elles. Ce que l’étudiante ne sait pas, c’est que la tante n’était pas que tenancière, son bar en Espagne était aussi un bordel, les filles elle connaît et sait les mater quand il le faut.

• Tu m’emmerdes avec ta morale, lâche- moi la grappe. Crie Laurie folle de rage.

Ni une ni deux, Louise arrête sa voiture, met le frein à main tranquillement pour faire un recadrage. La gifle qui part lui est rendue par la fenêtre, attrapée par les cheveux pour lui faire tourner la tête puis par l’oreille pour la plaquer contre sa jambe, la tenancière lui explique son mode de fonctionnement et ses règles.

• Un tu ne me parles pas sur ce ton, deux tu ne me manques pas de respect, trois tu vas changer d’attitude où tu vas morfler. Lui explique calmement Louise en lui broyant l’oreille. Me fais-je bien comprendre petite morveuse ? Sache que j’en ai matées bien d’autres avant toi, alors mets-toi bien dans le crâne que tu ne feras pas la loi chez moi et que tu vas bosser, crois-moi sur parole. Ceci n’est qu’un avertissement ok ?

« Oui ma tante » répond Laurie, non pas par conviction mais parce que les griffes plantées dans son oreille sont insupportables. Aussi tranquillement qu’elle s’est arrêtée, Louise reprend la route comme si de rien n’était. Arrivée à la bergerie, (ayant servi à autre chose que la morale réprouve) Laurie est conduite à sa chambre, une immense pièce meublée à l’ancienne avec des tentures et un lit à baldaquin. Le repas du soir se résume à une soupe, le passage à la salle de bain glaciale est rapide, l’étudiante n’a qu’une hâte, retrouver ses amies sur le net pour se plaindre et leur expliquer pourquoi qu’elle ne pourra pas participer à la tuf prévue le samedi suivant. Par chance, le mobile connecté à l’ordinateur fonctionne, la connexion est même bonne. Son petit copain la chauffe, la belle entreprend de faire une exhibition coquine en webcam. Elle adore l’allumer, se faire très chatte, laisser traîner ses doigts aux endroits stratégiques appréciés des hommes.

En allant libérer ses fauves, deux Rottweilers dressés pour garder et défendre, Louise voit qu’il y a encore de la lumière à l’étage. Elle décide d’aller voir si la jeunette a besoin de quelque chose. Habituée à rentrer dans les chambres des filles sans frapper, sa surprise est de taille. Laurie est à quatre pattes sur le lit, en corset, bas et porte jarretelle en train de se tripoter devant l’ordinateur. Son s a n g ne fait qu’un tour !

• Mais tu fais quoi là ?

• Je me faisais plaisir, cela m’aide à dormir ! Répond l’étudiante très gênée.

Les « clunch clunch » de l’ordinateur attirent l’attention de Louise, et lorsqu’elle se penche devant l’écran, elle aperçoit un jeune homme torse nu en train de fumer une cigarette qui n’a pas l’air « conventionnelle ». Le nez sur son clavier, il continue de taper et d’envoyer des messages : « branles-toi, caresses tes seins, fais ta chienne, .... » Folle de rage, Louise comprend la situation, la petite a trouvé le moyen de se connecter sur internet et elle s’exhibe au lieu de travailler.

• Ah ça te plait de t’exhiber comme une pute ? Et bien on va lui en donner de l’exhibition ! Crie Louise en l’attrapant par les cheveux.

Malgré ses cris et réfutations, plaquée contre la barre verticale du lit à baldaquin Laurie prend des claques très appuyées sur les fesses. Elle essaye de fuir mais la poigne de l’ancienne tenancière la bloque. Les claques s’abattant sur ses fesses la font bondir de douleur et de rage.

• Petite traînée, tu vas prendre la fessée que tes parents auraient du te donner il y a bien longtemps.

Entre une experte du dressage de fille et une étudiante, la lutte est inégale, Laurie se fait plus mal qu’autre chose en essayant d’échapper à sa punition. Elle prend quelques gifles au passage et se retrouve à chaque fois dans la position de la punie. Elle a bien essayé de s’asseoir et même de se coucher, mais en vain, la poigne la tenant par les cheveux la ramène toujours à la même place. Lâchée quelques secondes, Laurie espère que la punition est terminée mais il n’en est rien. Du tiroir de la commode, Louise sort un paddle en lui criant de se remettre en place devant son ordinateur.

• On va lui faire voir à ton copain ce qu’il en coûte ici de tricher. Tu réfléchiras la prochaine fois qu’il te prend des envies de faire la pute ! Lui crie Louise en ponctuant ses dires.

Les petites claques sur les fesses, Laurie connaissait, c’était même excitant, le paddle lui arrache des cris. Elle met ses mains sur ses fesses pour les protéger, le coup qui tombe sur ses doigts les font immédiatement se retirer. La douleur est telle, que Laurie crie et pleure maintenant sans discontinuer pendant cette fessée d’une grande sévérité. Envoyée au coin comme une gamine, elle en est soulagée en comprenant que sa fessée est terminée.

• Tu ne bouges pas de là ou je recommence. Je reviens dans cinq minutes et gare à toi si tu as bougé. Ne rêves pas de t’enfuir, j’ai lâché les chiens, tu te ferais dévorer.

Larmoyante et totalement dépitée, Laurie masse ses fesses en feu en se demandant ce qu’il va lui arriver. Matée en apparence, elle n’ose pas bouger, elle a trop souffert et ne souhaite pas reprendre une autre fessée, Louise lui fait trop peur. Quelques minutes plus tard, la tenancière arrive avec un truc qui ressemble à une culotte en fer.

• Retire ta culotte et tes bas, je vais te poser une ceinture de chasteté, avec ça tu ne feras plus de connerie, crois-moi !

Pour Laurie, se déshabiller devant sa tante même d’adoption lui semble insurmontable, en la voyant arriver la main en l’air, elle se met à la supplier, encore une fois en vain.

• Ne m’énerve pas ou tu vas en prendre une autre ! Crie Louise.

Vaincue et l’âme en peine, Laurie s’exécute avec difficulté, elle tourne le dos à sa tante par pudeur.

• Arrête de faire ta pudique, tu faisais la pute tout à l’heure.

Complètement déconcertée, elle laisse sa tante lui passer la ceinture de chasteté en suppliant, suppliques sans effet, on ne discute pas avec Louise quand elle se met en mode « dressage ». Posée très serrée, la ceinture lui fait mal, Louise accepte de relâcher un cran avant de poser le cadenas.

• Allez, vient me faire un petit câlin !

« Un câlin » se demande Laurie ???? Elle est folle ou quoi ? Attrapée par le bras, elle est attirée sur les genoux de sa tante qui la serre dans les bras et la dorlote comme une petite fille. La tête appuyée sur l’épaule de sa tante, elle est en perdition psychologique. Ce corps à corps tendre la perturbe tout comme le câlin qu’elle lui fait.

• Je vais vraiment devoir garder ce truc ? Demande Laurie.

• Oui, pour l’instant, si tu es sage et travailles bien,nous la retirerons mais pour l’instant oui.

• Mais je vais faire comment tantine pour aller aux toilettes avec ce truc ?

• Pour le pipi tu feras avec, pour le popo tu attendras que je te libère. Aller bisous et dodo, il est temps de dormir. Lui répond Louise en l’accompagnant au lit où elle l’aide à retirer son corset avant de lui tendre une chemise de nuit d’un autre époque. Fait de beaux rêves ! ponctue sa tante en lui prenant son ordinateur et son téléphone portable.

La lumière éteinte et la porte fermée, la première chose que Laurie fait, c’est d’essayer de retirer la ceinture de chasteté. Serrée comme il se doit, c’est impossible. Elle met un certain temps à trouver le sommeil avec ce truc inconfortable autour de la taille et entre les jambes.

Réveillée par une forte envie de faire pipi, Laurie se lève pour aller aux toilettes. La chose faite avec les aléas....., en retournant dans sa chambre elle entend de drôles de bruits. Mue par la curiosité, elle descend les escaliers à pas de velours pour aller voir ce qu’il se passe. L’étudiante s’approche doucement de la porte du salon restée entrouverte et se fige comme une statue. Sa tante est étendue quasi nue sur le canapé, elle tient la laisse d’une jeune fille nue à quatre pattes qui lui broute la chatte ! Régulièrement elle lui donne des coups de cravache pour la motiver. Cette fille porte elle aussi une ceinture de chasteté mais semble avoir un truc en plus derrière.

Par peur de représailles, Laurie repart discrètement se coucher. Elle tarde à nouveau à trouver le sommeil, les aventures et découvertes de la journée perturbent ses pensées. Au milieu de la nuit, elle est réveillée par une sourde excitation. Mue par une irrépressible envie de se toucher, de se caresser. elle ne parvient à peine à glisser le doigt sous la ceinture, impossible dans ces conditions là d’arriver à quoi que ce soit. Quel paradoxe se demande t’elle soudain ? Je suis piégée chez ma tante, j’ai pris une raclée, je suis obligée de dormir avec une ceinture de chasteté et je suis excitée ? Je dois devenir folle !

Ce que ne peut savoir Laurie, c’est que la ceinture de chasteté oblige la chasteté mais en même temps, chaque mouvement titille le sexe et finit par générer de l’excitation.

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